samedi 9 novembre 2013


13 commentaires:

  1. Tu étais là? Moi j'étais ici! On ne s'est pas compris...

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  2. Arff, je suis tjrs là... c'est ici que je suis las, mais je m'en lasse pas... c'est ici mon la, le là :D

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  3. Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle!

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  4. Vi, on a toujours eu peur par chez nous, qu'il nous tombe sur la tète.

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  5. Moi j'ai hâte que tu retouches au lin. Il me semble que ces ciels n'attendent que de passer au travers toi. Qu'est-ce que tu fous bordel!? C'est assez la farniente.

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  6. La perception que j'en ai, c'est que tu fais ces photos en te languissant de tes tubes. Par peur de pas être capable de retomber, tu te contente de la pellicule. Je te sens pas. Tu sais que je suis casse pied mais il faut te secouer comme un prunier. Entends-moi bien, je trouve cette photo magnifique mais je te sens pas là. Tu vas devoir trouver ton centre et affronter le lin gredin. Retarder, ne changera rien à l'histoire. Magnes tes fesses. Le temps file. Je t'embrasse.

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  7. Tu peux me dire ouste, tu sais. Je te brasse car je trouve triste que tu ne peignes pas et que tu ne laisses pas ce plaisir fleurir.

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  8. Bah nan, je dirais pas ouste, jamais, pas à toi... d'autant que tu as raison sur tout... le ciel me traverse, les vanneaux et les corbeaux aussi, même quand je pédale je fais toujours le même trajet, comme pour me courir après. Le farniente est à des lustres, je rêve plutôt d'hibernation. Je ne me sens pas moi même et les prunes trempent dans la mélasse. Mon centre, je tourne autour, je gravite, j'ai plutôt le centripète qui me nargue.

    je retarde rien tu sais, je flotte, "y'a pas la presse..j'veux finir ma bouteille" comme dans la chanson...j'ai tout donné, j'peux plus.
    Je t'embrasse aussi.

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    1. Tu es libre de plonger ou non. Le choix te reviens. Prends soin.

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    2. Dernière chose. Rien ne se vide, tout se remplit un moment donné. Rien ne s'épuise mais il fait effectivement respecter les phases d'hibernation. Les muses n'existent pas. Tout est en toi. Mais il faut plonger en soi, plus facile de plonger en l'autre. C'est le grand défi. Mais tu le feras un jour ou l'autre. Je le sais. Reposes-toi. Parfois, il le faut.

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  9. Ah nan, le repos c'est la mort..je préfère m'écrouler... tomber c'est mieux que de s'allonger.
    Hibernation pour un bipède, c'est plus de la démission.
    On ne peut pas se reposer quand le temps file...si tu voyais la vitesse des nuages en ce moment.

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    1. Les nuages c'est toi qui les créer. C'est toi qui décides de la température. As you wish.

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    2. Tu sais peut importe le chemin emprunté, on arrive tous au bout, un jour ou l'autre. Mais essaie d'être doux pour toi, c'est tout ce que je te souhaite. On tous le droit de démissionner un moment donné. Ça aussi, ça fait partie de la liberté. Prends soin.

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